Biographie de Aliko DANGOTE
Aliko Dangote, né le à Kano, Nord du Nigeria, est un homme d’affaires nigérian d’origine Haoussa, considéré comme l’homme le plus riche d’Afrique1.
Date de naissance : 10/04/1957 (format : jour/mois/année)Son parcours :
Aliko Dangote (né le 10Avril 1957), est l’homme le plus riche d’Afrique et le plus influent du Nigéria , Le magnat Nigérian est présent dans tous les secteurs de l’économie (sucre, pétrole, ciment, farine , toute l’alimentation, les assurances, transport etc,,,,,,,,,). En 2008, le magazine Américain Forbes a estimé sa fortune à3.3 milliards de dollars. En 2014, le magazine Forbes le classe 2ème plus riche du monde , avec une fortune estimée à 25 milliards de dollars. En 2017, sa fortune est estimée à 12,2 milliards de dollars.
En 2011 selon le classement des grosses fortunes du monde du magazine Forbes la valorisation de ses parts dans ses sociétés cotées en bourse s’élève à plus de 13,8 milliards de dollars. Il devient alors l’homme le plus riche d’Afrique. Vient en deuxième position le magnat Sud africain Nicky Oppenheimer.
Aliko Dangote est un homme discret et très modeste malgré sa fortune colossale, il est très connu au Nigéria , mais peu connu dans le reste du monde.
Aliko Dangote est né en 1957 dans une famille commerçante Haoussa de Kano ,ville située dans le Nord du Nigéria,. Les Haoussas sont majoritairement musulmans.
Son holding, Dangote Group (treize sociétés, dont deux cotées au Nigerian Stock Exchange), règne pourtant sans égal sur l’économie nigériane : transport et opérations portuaires, agroalimentaire, matériaux de construction et textile. Dangote, dont la fortune est estimée entre 3 et 4 milliards de dollars sinon plus compte maintenant développer son activité dans le secteur des hydrocarbures, où il possède déjà de nombreux intérêts offshore.
Mais c’est vraiment au tournant des années 80 que l’empire s’étend. D’abord parce qu’il diversifie ses activités commerciales en créant en mai 1981 le Dangote Group, qui se lance progressivement à l’assaut de Lagos, la capitale économique du pays. Ensuite parce qu’il profite dès 1983 de l’arrivée au pouvoir de la junte militaire, qui emprisonne de nombreux concurrents pour corruption. Surfant sur l’aubaine, Aliko investit dans les marchés laissés vacants, notamment dans le secteur alimentaire. Et qu’importe, au final, si sa collusion avec la junte lui sera longtemps reprochée, tout comme sa proximité avec le président Olusegun Obasanjo, dont il a financé la réélection en 2003.
Raffinerie et grands principes
La suite, c’est une montée en puissance jamais démentie de son groupe, couronnée par un voyage décisif en Amérique du Sud, en 1999 : « Je pensais que le Brésil et le Nigeria se situaient à peu près au même niveau, parce qu’à cette époque, on entendait dire que le Brésil était une nation très endettée. Mais quand j’y suis allé, j’ai découvert une industrialisation massive. Incroyable. J’ai commencé à réfléchir en me disant « Comment se fait-il qu’il y ait un tel développement de l’industrie au Brésil et pas au Nigeria ? » À mon retour, j’ai décidé de me lancer dans l’industrie. » Fini le commerce, place aux usines. Sans délaisser le ciment, le conglomérat s’implante peu à peu dans d’autres secteurs comme le gaz, le textile ou le transport. Avec, à chaque fois, les mêmes principes martelés : « Réinvestir ses profits dans le pays au lieu de cacher l’argent dans des coffres suisses, mener un train de vie modeste et tout miser sur le marché intérieur du pays le plus peuplé d’Afrique. »
(c) http://www.africansuccess.org/visuFiche.php?id=469&lang=fr
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