Le désir de tout Chef quelque soit la structure qu’il dirige est de voir celle-ci évoluer. C’est à ce même titre que depuis que j’ai été désigné comme le Chef Supérieur du Groupement Batcham, mon seul et grand désir est de voir un grand groupement dans lequel vit un grand Peuple Batcham.
Etant donné que dans la société nul ne peut agir seul avec succès, j’exhorte toutes les forces vives du groupement Batcham à me soutenir sans réserve dans cette voie et dans tout ce qui pourrait concourir au développement véritable de notre groupement, l’exemple de ce journal Mesa’ako Patsoon, qui est un grand outil de communication dans lequel chaque Batcham devrait se définir en faisant de cela sa propriété et devrait veiller à sa survie.
Il ne sera pas superflu de répéter ce que j’ai toujours eu à dire depuis mon accession au trône, je cite : « il ne peut avoir de véritable paix sans amour véritable, et il ne peut avoir d’amour véritable sans vérité »
A ce titre nous devons nous respecter mutuellement en nous pardonnant d’avantage, ceci nous permettant d’apprendre à régler la majorité de nos conflits à l’aimable.
Propos recueillis par Elvis Tagwa Sa’a.
© Publié dans le journal Mesa’ako Patsoon N°01.
«LE BATCHAM », UN PATRIMOINE VOLE