ABONG-MBANG Quartier administratif (Ecole les colombes)
AFANLOUM Vers la résidence du chef de district
AKO Place du marché d’AKO, en face du marché
AKOEMAN Centre-ville en face de la gendarmerie
AKOM II Centre commercial à côté de la poste
AKONO Centre administratif à côté de la sous-préfecture
AKONOLINGA Ndamba, en face de l’école maternelle
AKWAYA Attenante à la sous-préfecture d’AKWAYA, centre-ville
ALOU Située à Three Corners, marché d’ALOU
AMBAM Quartier Aviation à l’arrière du bâtiment abritant l’agence départementale
ANDEK Face résidence de l’adjoint d’arrondissement à côté de la sous-préfecture
ANGOSSAS Face Sous-préfecture
ATOK A côté de l’hotel de ville
AWAE Centre administratif après la gendarmerie
AYOS Nlong’Assi avant le pont sur le Nyong route centrale en allant à Abong Mbang
BABADJOU Quartier King Place, Bloc TOUMAKA à 100 m d’express Union
BABESSI Quartier CHUI I face école publique BABESSI
BAFANG Centre administratif à côté de la préfecture de BAFANG
BAFIA Ndengue, ancienne commune rurale, à côté du collège SABAYA
BAFOUSSAM I Quartier TAMDJA derrière la station TOTAL TAMDJA, entrée élève du lycée classique de BAFOUSSAM
BAFOUSSAM II BALENG entre le garage militaire et l’immeuble interministériel
BAFOUSSAM III Située à BAMOUGOUM sur l’axe BAFOUSSAM-BAMENDA entre le camp militaire et SONEL poteau bois
BAFUT Quartier 3 CORNERS NJINTEH, immeuble BABONI derrière Express Union
BAHAM Carrefour Mission catholique de la doyenne, allant vers la sous-préfecture
BAKOU Axe lourd BAFANG-NKONDJOCK derrière le marché de BAKOU
BALI Quartier TITAM sur la route BALI-BATIBO, immeuble du FON
BALIKUMBAT Centre administratif, Rue de la mairie (Council Street)
BAMENDA I Quartier Up-Station Bamenda en face de L’ANAFOR
BAMENDA II Quartier AZIRE B, immeuble Emperor, face Guarantee Express
BAMENDA III Quartier Mile 3 à 500 m de la sous-préfecture
BAMENDJOU Centre administratif à l’ancienne mairie de BAMENDJOU
BAMUSSO Située à environ 60 m de la plage de BAMUSSO
BANA Quartier KONTE sur Axe lourd BAFANG-YAOUNDE à côté de l’église évangélique de KONTE
BANDJA Axe BAFANG-BAFOUSSAM à la montée de la sous-préfecture de BANDJA
BANGANGTE Quartier n°1 derrière la délégation départementale d’agriculture
BANGEM Face service juridique, quartier HAOUSSA, BANGEM
BANGOU Quartier BALANGOUE à la descente du lycée de BANGOU
BANGOURAIN Face mosquée centrale
BANKA Située sur l’axe lourd BAFANG-YAOUNDE à 100 m du poste de gendarmerie de BANKA
BANKIM Quartier LWUNCHIM à côté de l’école catholique
BANWA Centre administratif, face sous-préfecture à côté de la place des fêtes
BANYO Quartier administratif en face de la CNPS
BARE BAKEM Quartier EBOUH au niveau de l’ancienne sous-préfecture
BASCHEO Quartier FOULBERE, bâtiment Sous-préfecture
BASSAMBA Quartier n°3 route de l’église évangélique
BATCHAM Centre Administratif, ancien centre de la jeunesse de BATCHAM, à côté de la tribune
BATCHENGA Centre de Batchenga en allant vers la mairie
BATIBO Quartier KONDUM en contrebas de l’école publique de BATIBO
BATIE Quartier DJEDEM, ancienne mairie de BATIE, sur la route DOUALA-BAFOUSSAM
BATOURI Quartier élevage (Centre administratif)
BAYANGAM Axe lourd BAFOUSSAM-YAOUNDE, ancien péage de BAYANGAM
BAZOU Centre commercial NDIPTA route de la sous-préfecture
BEKA Quartier administratif à l’ancien bâtiment de la sous-préfecture
BELABO Entre l’Ecole Japonaise et l’Hôtel la Sengué
BELEL Quartier carrefour marché à côté du stationnement de Narral Voyage
BELO COUNCIL Juste en face du bâtiment abritant Express Union BELO; Entrée de BELO en provenance de BAMENDA (à environ 100m de 3 corners BELO)
BENAKUMA Sur la voie principale à côté du service des douanes de BENAKUMA
BENGBIS Derrière hôpital de district
BERTOUA 1 A côté de la délégation régionale des affaires sociales
BERTOUA2 Quartier ENIA, à côté de l’Ecole Japonaise
BETARE-OYA A côté de la résidence du ministre Yves MBELE NDOE
BIBEMI Quartier FOULBERE, à 200 m de la sous-préfecture, axe Lamidat de Bibémi
BIBEY Derrière la gendarmerie
BIKOK Centre administratif en face de la place des fêtes
BIPINDI Centre commercial, ancienne sous-préfecture
BIWONG BANE Centre commercial en face de la gendarmerie
BIWONG BULU Axe EBOLOWA-MVANGAN en face de la résidence du Sous-préfet
BIYOUHA Maison blanche après la mission protestante de Mahomla
BLANGOUA Quartier ARDEBE MASSA à côté de la grande mosquée
BOGO Quartier Marouare à côté de la sous-préfecture
BOKITO Centre administratif près de la gendarmerie
BONALEA Quartier BONABONG SOUZA face au collège Herbert de SOUZA
BONDJOCK Centre ville à côté de la sous-préfecture
BOURHA Quartier DJIMETA à 150 m du marché
BUEA Face délégation régionale de la culture, entrée (en aval) du tribunal de grande instance de
CAMPO Centre administratif
DARAK Quartier BLABLINE non loin du poste de douanes de DARAK
DARGALA Quartier Gare à côté du marché DARGALA (Centre-ville)
DATCHEKA Quartier administratif non loin de la sous-préfecture
DEMBO Quartier Sarkiyayi, ancienne sous-préfecture
DEUK Centre administratif non loin de la résidence du sous-préfet
DIANG Face Mairie
DIBAMBA LOGBADJECK face au palais royal de LOGBADJECK
DIBANG Centre ville à côté de l’église protestante
DIBOMBARI Quartier BWELOLO avant l’entrée du stade municipal de DIBOMBARI
DIKOME BALUE A 200 m de la sous-préfecture de DIKOME BALUE, côté opposé
DIMAKO Axe Gare routière/Gendarmerie
DIR Quartier marché
DIZANGUE Plage KASSALA
DJEBEM Centre Administraif situé à la montée de la mairie de DJEBEM après la gendarmmerie
DJOHONG Quartier lobo à côté du poste de gendarmerie, vers l’élevage
DJOUM Quartier BITE BI OKANG face hôpital
DOUALA I BALI, en face de la délégation régionale de CDE à côté de la direction de La SONEL
DOUALA II NEW BELL BASSA, camp TSF
DOUALA III LOGBABA, centre administratif
DOUALA IV MBONA MBAPPE, sur la route de BONABERI, en face du poste de gendarmerie
DOUALA V BONAMOUSSADI entre les laboratoires MEKA et le bureau SIC
DOUALA VI MANOKA Centre, Centre administratif du plateau
DOUMAINTANG Village Ouldik
DOUME Quartier Eden
DSCHANG Quartier NGUI, rez-de-chaussée de l’agence départementale de la MENOUA
DZENG Centre ville en face de la résidence du sous-préfet
DZIGUILAO Quartier NDAKLA en face du marché de bétail route TCHATIBALI
EBEBDA Axe lourd, 50 m après la brigade de gendarmerie
EBOLOWA I Centre administratif, derrière trésorerie, rez-de-chaussée de l’immeuble ancien Jeunesse et Sport
EBOLOWA II Quartier ANGALE face secteur militaire n°7
EDEA I PONGO, au rez de chaussée de l’immeuble la délégation régionale d’ELECAM
EDEA II MALIMBA Centre
EDZENDOUAN Centre-ville près de la résidence du sous-préfet
EFOULAN Centre commercial bâtiment ancienne Mairie
EKONDO TITI Non loin de la mairie d’EKONDO TITI
ELAK-OKU Ecole publique de MANCHOK, ancienne cour de la Credit Union
ELIG-MFOMO Centre-ville à proximité de la brigade de gendarmerie
ENDOM Derrière le marché
ESEKA Centre administratif avant la place des fêtes
ESSE En face de la paroisse Saint-Joseph
EVODOULA En face de gendarmerie
EYUMOJOCK Située à 500m du contrôle de gendarmerie à EYUMDJOCK
FOKOUE Centre Administratif situé à côté de MC2 de FOKOUE, face ministère des affaires sociales
FONFUKA Cabinet vétérinaire Mr CHIA NGWANU Emmanuel; Concession de M. PETER KITEH’S
FONGO-TONGO Quartier MBOUA, en face du marché de FONGO TONGO, route venant de la sous-préfecture
FOTOKOL Quartier DJAGOUMDAGUE devant le centre médical d’arrondissement de FOTOKOL
FOUMBAN Quartier KOUNGA à l’entrée de la ville
FOUMBOT Quartier Petit PARIS située sur la nationale n°6 axe FOUMBOT-FOUMBAN
FUIGUIL Quartier BARINGUEL face auberge SARRASSIN
FUNDONG MC2 de FUNDONG; Express Union en allant vers Teachers’ Quarter
FURU-AWA Place du marché de FURU-AWA à 100 m à l’ouest de la place du marché
GALIM Centre administratif à côté de l’inspection communale de l’éducation de bbase
GALIM TIGNERE A côté du marché de Galim Tignere
GARI-GOMBO A côté de l’hôtel de ville
GAROUA I Quartier Plateau derrière services du gouverneur
GAROUA II ROUMNDE ADJIA face stade omnisport ROUMNDE ADJIA
GAROUA III Quartier BOCKLE à l’anciene résidence du sous-préfet
GAROUA-BOULAÏ Quartier Sabongari
GASCHIGA Quartier LOUMORE, ancien bâtiment de la sous-préfecture
GAZAWA Quartier carrefour club face concession Lamido Bah
GOBO Quartier GOBO KARINA, en face de la Mairie
GOULFEY Quartier DJAGARA domicile Goni Mal Adji à 200 m du poste de police de frontière
GUEME-VELE Ancienne sous-préfecture
GUERE Quartier ARDAF non loin de la résidence de l’adjoint de l’arrondissement
GUIDER Quartier Délégué 3 au marché des céréales
GUIDIGUIS Quartier GASSEL carrefour débrouillard non loin de l’hôpital de district
HILE-ALIFA Quartier GOULWA CHARI KABIR, ancienne sous-préfecture
HINA Quartier MARBAK à côté du bâtiment du BIR et en face de la brigade de gendarmerie
IDABATO Bâtiment du centre de santé, KUMBO AMUNJAH I
IDENAU Ancien bâtiment de la perception d’IDENAU
ISANGELE Face à l’église catholique, village ORON, ISANGELE
JAKIRI A 200 m à gauche après l’actuelle station TOTAL de JAKIRI, immeuble à deux étages appartenant à la JAKIRI Credit UNION
KAELE Quartier administraitf, derrière la délégation départementale du commerce
KAÏ-KAÏ Quartier SABONGARI-Marché
KALFOU Derrière l’école publique de Kalfou, dans la résidence du percepteur
KAR-HAY (DOUKOULA) Quartier CASABLANCA, à côté de la résidence du Député
KEKEM KEKEM sur l’axe DOUALA-BAFANG à 100 m de la mairie de KEKEM
KENTZOU Quartier Lycée après le carrefour de la perception
KETTE Centre urbain, à côté du centre multi media
KIIKI Centre administratif en face de la mairie
KOBDOMBO A côté de la résidence du feu pasteur EKANGA à TOMBO
KOLOFATA Quartier Amadou ALI, non loin résidence Amadou Ali
KONTCHA Quartier Mbouladji en face du centre de santé
KON-YAMBETTA Axe lourd après le carrefour en allant vers Bafoussam
KONYE Face à la chefferie de KONYE
KOUOPTAMO Située sur la route de la sous-préfecture, ancien bureau ONEL
KOUSSERI Quartier administratif face école publique groupe 1 à côté de l’hôpital de district
KOUTABA Avenue des cinquantenaires en face du monument
KOZA Quartier Lamorde non loin de la brigade de gendarmerie de la chefferie
KRIBI I Quartier NGOYE Administratif, partage la même structure avec l’agence départementale
KRIBI II DOMBE face Marché
KUMBA I Située face à la SNEC à Station, KUMBA (Partage la même enceinte avec l’agence départementale de la MEME pour le moment)
KUMBA II Située au 1er étage du bâtiment de l’ancien cinéma concorde à FIANGO, KUMBA
KUMBA III Sise à 100m de la sous-préfecture à MABANDA
KUMBO A 150 m du carrefour Tobin, à droite de la route TOBIN-MBVE, au niveau de l’école maternelle DIDAVIV
KUMBO ABEDIMO Premier bâtiment à gauche, AKWA Ville
KUMBO ITINDI A côté de la résidence du sous-préfet à NGOSSO
KYE-OSSI Centre commercial à côté de CAMTEL
LAGDO Camp Mission d’Etude MEADEM
LEMBE-YEZOUM Derrière la chefferie supérieure
LIMBE I Quartier HALF-MILE, 2ème étage du bâtiment de la coopérative de l’autorité portuaire LIMBE
LIMBE II Ancienne route SOKOLO après le carrefour du marché (Market junction), LIMBE
LIMBE III Située à BONANGOMBE, BIMBIA
LOBO Centre ville, ancien bureau du chef de district
LOGONE-BIRNI Quartier NGAOUBATA à côté du nouveau poste frontière de la police
LOKOUNDJE Axe EDEA-KRIBI concession Pr TETAGNE
LOLODORF Centre commercial immeuble rond à l’étage
LOMIE Derrière la place des fêtes
LOUM Quartier marché à côté de CAMPOST
MA’AN Centre administratif
MADINGRING Commissariat face poste de police des frontières
MAGA Quartier commercial, non loin de l’agence de voyage DIAMARE
MAGBA A côté du Rond-point de la sous-préfecture
MAKAK Centre admistratif, ancienne sous-préfecture
MAKARY Quartier GALME non loin de la mairie et de la sous-préfecture
MAKENENE Centre administratif en face de l’hôpital et de la mairie
MALANTOUEN MALANTOUEN sur la route allant à la sous-préfecture
MAMFE Logée dans le même bâtiment que l’agence départementale de la MEME, face place des fêtes MAMFE
MANDJOU Face commissariat Manjou
MANJO Quartier MIKOMBE à côté de AES-SONEL
MAROUA 1 Quartier Domayo face SODECOTON
MAROUA 2 Quartier Doualaré à 40 m de l’axe principal non loin de la sous-préfecture
MAROUA 3 Quartier Dougoi derrière école publique
MARTAP Quartier Compagny à côté de la mairie
MASSANGAM Située à l’entrée du village MASSANGAM, ancien bureau ONEL
MASSOK A l’entrée de la délégation de l’agriculture et du développement rural
MATOMB Centre administratif avant la sous-préfecture
MAYO BALEO Quartier FADA à côté du rond-point ancien campement
MAYO DARLE Quartier bonabéri en bordure de la route menant à Foumban
MAYO OULO Quartier DJAOURO MANGA face hôpital de district
MBALMAYO Centre administratif derrière la mairie à côté de la poste
MBANDJOCK Centre ville, Route nationale après le rond-point central
MBANG Centre urbain à côté de la brigade de gendarmerie
MBANGA Quartier 1 à 150 m de la brigade de gendarmerie
MBANGASSINA Face lycée de Mbangassina
MBANKOMO Centre ville derrière ancien péage montée école publique de Mbankomo
MBE Quartier Taparé en bordure de la nationale N°1
MBENGWI Centre administratif, contigue au commissariat central de MBENGWI
MBIAME à 200m de la lace du marché de Mbiame,Bâtiment précédent la sous-préfecture
MBOMA A côté de chefferie
MBONGE Contigue à la sous-préfecture de MBONGE
MBOUDA Nationale n°6, rez-de-chaussée de l’agence départementale face église évangélique
MEIGANGA Quartier YELWA ABBA à côté du camp blanc
MELONG Quartier administratif à côté de la sous-préfecture
MENGANG Entre la résidence du colonel EBOGO Titus et le poste de gendarmerie
MENGONG Centre commercial, résidence Juliette et Florence
MENGUEME Centre ville ancienne mairie face chefferie
MENJI Sis à côté du commissariat de MENJI
MERI Quartier Maguivele 2 au centre-Ville
MESSAMENA A côté de la Résidence du sous-préfet
MESSOK Situé à 500 m de la résidence du sous-préfet à l’entrée de la ville, face Ecole primaire Messok, entre le stade Municipal et le site de la future église Catholique en plein cœur du quartier administratif à droite de la voie principale lorsqu’on entre dans la ville
MESSONDO Derrière la gare ferroviaire
MEYOMESSALA Centre ville face mairie à côté résidence sous-préfet
MEYOMESSI Axe SANGMELIMA-DJOUM derrière la mairie
MFOU Centre administratif, bâtiment des finances publiques
MINDIF Quartier LOUMORE, en face de la sous-préfecture derrière PTT
MINDOUROU Entrée du complexe forestier palisko (Maison de la femme)
MINTA Centre-ville en face de la gendarmerie
MINTOM Centre ville face sous-préfecture
MISAJE sur la rue de l’école presbytérienne de MISAJE en provenance de la Barrière des pluies (Rainwall)
MOGODE Quartier commercial face Express Union MOGODE
MOKOLO Quartier MOFOLE à l’immeuble siège de l’agence départementale du MAYO-TSANAGA
MOLOUNDOU Quartier administratif
MOMBO Quartier TROIS à 150 m de la sous-préfecture
MONATELE Entrée de la ville après la mission catholique
MORA Quartier WALADE à l’immeuble siège de l’agence départementale du MAYO-SAVA
MOUANKO Sur la route du débarcadère face à l’ONG, W.C.S
MOULVOUDAYE Quartier ZARIA, non loin de l’hôpital de l’arrondissement de MOULVOUDAYE
MOUTOURWA Quartier ROUM à côté de la résidence du sous-préfet
MOZOGO Quartier LAMORDE à côté de la chefferie et de la gendarmerie
MUNDEMBA Sise derrière la mairie de MUNDEMBA
MUYUKA Ancien club principal de MUYUKA, OWE ROAD, MUYUKA
MVANGAN Centre commercial à l’étage du seul immeuble
MVENGUE Centre administratif ancien Jeunesse et sports
NANGA-EBOKO Cité communale
NDELELE Centre urbain, face marché
NDIKINIMEKI Centre administratif à côté de la brigade de gendarmerie
NDOBIAN A 350 m de la sous-préfecture
NDOM NDOM centre à l’intérieur de la résidence du sous-préfet
NDOP Quartier LONG STREET BAMUNKA; avant la délégation départementale du MINPROFF, juste après le pont, en direction de l’hôpital départemental
NDOUKOULA NDOUKOULA centre-ville face résidence du député
NDU A environ 500 m en contrebas de la sous-préfecture de NDU sur la route de NKAMBE
NGAMBE NGAMBE I sur le route du lycée
NGAMBE-TIKAR Entrée de la ville face gendarmerie
NGAN-HA Quartier administratif à côté de la sous-préfecture
NGAOUI Quartier Lombé à côté de la mairie
NGAOUNDAL Quartier Béka en face de l’école Publique groupe 1
NGAOUNDERE 1 Quartier résidentiel derrière la délégation régionale de la santé publique pour l’Adamaoua
NGAOUNDERE 2 Quartier Sabongari à côté de l’agence AES/Sonel
NGAOUNDERE 3 En face du poste de police de Dang en bordure de la nationale N°1
NGELEBOK Centre urbain
NGOG MAPUBI Centre administratif à côté de la réidence du sous-préfet
NGOMEDZAP Derrière l’hôpital
NGONG Quartier MAROUARE à l’ancienne sous-préfecture
NGORO Centre ville à 300m de gendarmerie à l’entrée de la ville
NGOULEMAKONG Axe EBOLOWA MBALMAYO, entrée de la ville, immeuble AES/SONEL
NGOUMOU Ngoumou centre à côté d’express Union en face de l’hôpital de district
NGOURA A côté de la résidence du Maire
NGOYLA A côté du petit marché
NGUELEMENDOUKA Face Ecole publique Groupe 1
NGUIBASSAL Avant le lycée
NGUTI A côté du centre de santé de NGUTI
NGWEI MAKONDO II au niveau du palais de MAKONDO II
NIETE Axe KRIBI-EBOLOWA, BIDOU II, ancien ONAREF
NITOUKOU Camp des sœurs catholiques
NJIKWA Place NJIKWA à côté du marché central de NJIKWA
NJIMOM En contre bas de la mosquée centrale
NJINIKOM Locaux de la Credit Union, NJINIKOM sur la route de l’hôpital
NJOMBE PENJA Quartier MBALMBONG II à 10 m du poste de sécurité public de PENJA
NKAMBE Derrière SNEC NKAMBE
NKOLAFAMBA Centre administratif derrière la brigade de gendarmerie
NKOLMETET Centre ville avant la gendarmerie
NKONDJOCK Face à la gendarmerie
NKONG-NI Quartier ZEM I, centre administratif de NKONG-NI face place des fêtes
NKONGSAMBA I Centre Administratif derrière la prison de NKONGSAMBA
NKONGSAMBA II Quartier EDJOGMOA à côté de l’hôtel le Moungo of Tchouafe
NKONGSAMBA III Aviation Varessoumtou en face de l’hotel FOWE
NKOR-NONI Carrefour NKOR, délégation d’arrondissement du MINEBUB
NKOTENG Bilone 2 derrière la gendarmerie
NKUM A 400 m du centre de TATUM sur la route de NDU, bâtiment à étages en construction à 20 m de la plaque signalétique de l’église de plein évangile et à 30 m de la résidence du sous-préfet, à gauche.
NLONAKO Quartier EKOMKOH le long de la route nationale numéro 5 à l’entrée de la ville
NSEM Sortie de ville, ancien centre multifonctionnel de la jeunesse
NTUI Centre ville derrière le palais de justice
NWA A 50 m de la chefferie de NWA, au niveau du carrefour de la chefferie de NWA
NYAMBAKA Quartier Bongoss à côté de la grande mosquée
NYANON Centre administratif en face de la sous division de la délégation de l’agriculture et du développement rural
OBALA Gendarmerie en allant vers la mission catholique
OKOLA Centre-ville, ancienne sous-préfecture
OLAMZE Camp des professeurs à côté du commissariat spécial
OLANGUINA Centre ville après la gendarmerie
OMBESSA Centre administratif derrière la sous-préfecture
OULI Centre urbain, à côté de la Brigade de gendarmerie
OVENG Centre ville après mission catholique
PENKA-MICHEL Quartier Plateau sur la route du lycée Bilingue de PENKA-MICHEL
PETE-BANDJOUN Centre Administratif derrière la préfecture de BANDJOUN, rez-de-chaussée immeuble agence départementale ELECAM/KOUNG-KHI
PETTE Quartier KORNIRE à côté de la sous-préfecture
PITOA Quartier DOLERE au complexe commercial
POLI Quartier LAMORDE à l’ancien bâtiment de la sous-préfecture
POUMA Centre POTO POTO derrière le centre de renforcement des femme et de la famille
REY BOUBA Quartier SASSA face école maternelle
SA’A Face SONEL
SALAPOUMBE Face Brigade gendarmerie
SANGMELIMA Centre commercial, rez-de-chaussée immeuble face hôtel Jeannine
SANTA Bâtiment de la coopérative Crédit Union, SANTA à côté de la brigade de gendarmerie
SANTCHOU SANTCHOU sur l’axe SANTCHOU-NGWATTA
SOA Près de la marie
SOMALOMO A côté du petit marché
SOULEDE-ROUA Quartier MADAKONAÏ non loin de la résidence du sous-préfet
TCHATIBALI Quartier LERE à côté de la résidence du sous-préfet
TCHOLLIRE Quartier MBALINOBE face SAR/SM
TIBATI A côté de la délégation départementale du MINESEC
TIGNERE Quartier résidentiel, face bureau de la douane, à côté de la poste
TIKO Face place des fêtes, LONG STREET TIKO
TINTO Sise à 500 m de la brigade de gendarmerie, en direction de la place des fêtes de TINTO
TOKO A 200 m derrière la sous-préfecture de TOKO
TOKOMBERE Quartier TOKOMBERE TALLA-AMADA
TOMBEL Route WAWA, TOMBEL
TONGA Quartier n°3 TONGA à côté de la gendarmerie
TOUBORO Quartier MBIKOUNI carrefour NGOUMI, face ancienne agence SONEL
TOULOUM Mission catholique non loin de la résidence du sous-préfet
TOUROUA Quartier DJEKARE à l’ancien bâtiment de la sous-préfecture
TUBAH Quartier Four Corners BAMBUI face mosquée TUBAH
WABANE Sise au village TALUNG, WABANE
WAZA Quartier GONERI à côté de l’antenne Orange
WIDIKUM-BOFFE Quartier AMBELLE face à la résidence du médecin chef
WINA Quartier Djondong
WUM Face compagnie de Gendarmerie WUM
YABASSI Quartier administratif en face du parc
YAGOUA Quartier BORNOUA, en face de la délégation du MINPAT
YAOUNDE 1 Mballa 1 , face Dragage
YAOUNDE 2 Nkomkana derrière station total
YAOUNDE 3 Efoulan après la traversée du pont d’Efoulan à droite
YAOUNDE 4 Mimboman face stade sapeur
YAOUNDE 5 Nkolmesseng carrefour sous cacaoyer avant brigade
YAOUNDE 6 Lac central, face gendarmerie du lac
YAOUNDE 7 OYOMABANG Camp sonel
YINGUI Quartier administratif en desous du bureau de poste
YOKADOUMA Face délégation départementale des travaux publics
YOKO Centre-ville entre l’hôpital de district de la mairie, près du commissariat de police
ZHOA Mairie de ZHOA
ZINA Quartier WALIAGA à l’entrée de ZINA en venant de KOUSSERI
ZOETELE Quartier Plateau face gendarmerie
Un petit extrait du livre du grand Günther Anders écrivain allemand
*”L’obsolescence de l’homme”* , livre publié en 1956 … page 122,
Quel visionnaire !!!
lisez :
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance *en limitant leurs aptitudes biologiques innées* …
Ensuite, on poursuivrait le conditionnement *en réduisant de manière drastique l’éducation* , pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et *plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres* , moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que *l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste* … que le fossé *se creuse entre le peuple et la science* , que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, *il faut user de persuasion* et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, *des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif* .
*On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique* . Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.
*On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains* . Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. En général, *on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence* , de *tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée* , d’entretenir *une constante apologie de la légèreté* ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.
Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur (qu’il faudra entretenir) sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. *L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau* . Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, *ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu* …
Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutiennent devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir. »
*[Günther Anders dans son livre : « Die Antiquiertheit des Menschen » 1956 – P.122]*
Au cours d’un braquage, le voleur de banque intima l’ordre à tous les usagers de la banque:
«Ne bougez pas ! L’ argent appartient à l’état ! Votre vie vous appartient..». … Tout le monde se coucha tranquillement sur le sol.
☜ ☞ C’est ce qu’on appelle «LE CONCEPT DE MODIFICATION DE LA PENSÉE » Changer la façon traditionnelle de penser.
Quand l’une des femmes, très sexy, se coucha sous une table de façon provocante, le voleur l’interpela : «S’il vous plait soyez civilisée. C’est un vol et pas un viol »
☜ ☞ C’est ce qu’on appelle «ÊTRE PROFESSIONNEL » Se concentrer uniquement sur la tâche pour laquelle on est formé.
Plus loin, une autre femme veut dissimuler une liasse des coupons de dix milles tombée au sol, le voleur l’interpelle: «S’il vous plait Mme, arrêtez! Soyez honnête je n’aime pas le vol; remettez-moi cette liasse”!
☜ ☞ C’est ce qu’on appelle « PARADOXE DU CULTE » on prêche pour les autres et on est loin de donner l’exemple.
Quand les braqueurs de banque rentrent chez eux, le jeune voleur (diplômé BAC+5 ) dit au plus âgé (qui a seulement eu son CEP à l’école primaire publique): « Grand frère, nous allons compter combien nous avons gagné. » Le voleur âgé objecte et dit: «tu es trop stupide. Il y a tellement d’argents qu’il nous faudra beaucoup de temps pour compter. Ce soir, le journal télévisé de 20 heures nous dira combien nous avons dérobé à la banque »
☜ ☞ C’est ce qu’on appelle « L’EXPÉRIENCE » Aujourd’hui, l’expérience est plus importante que les qualifications livresques!
Après le départ des voleurs, le directeur de la Banque dit au superviseur d’appeler la police rapidement. Mais le superviseur lui dit: « attendez ! Laissez-nous prendre 10 millions de la Banque pour nous-mêmes et ajoutons-les aux 70 millions que nous avions précédemment détourné de la Banque “.
☜ ☞ C’est ce qu’on appelle «SUIVRE LA MARÉE» Transformer une situation défavorable à votre avantage!
Le superviseur dit: «Ce serait bon s’il y avait un vol tous les mois ».
☜ ☞ C’est ce qu’on appelle « TUER L’ENNUI… » Le Bonheur personnel est plus important que votre travail.
Le lendemain, le journal télévisé signale qu’une somme de 100 millions a été volée à la Banque. Les voleurs comptent, comptent et recomptent, mais ils ne peuvent compter que 20 millions seulement. Les voleurs sont très en colère et se disent: « nous avons risqué nos vies et n’avons pris que 20 millions. Le directeur de la Banque a pris 80 millions avec un claquement de doigts. On dirait qu’il est mieux de s’instruire plutôt que d’être un voleur »
☜ ☞ On appelle cela « LA CONNAISSANCE VAUT AUSSI BIEN QUE L’ OR! »
Le directeur de la Banque est souriant et heureux, parce que ses pertes sur le marché de la bourse sont désormais couvertes par ce vol.
☜ ☞ C’est ce qu’on appelle « SAISIR L’OCCASION. » Oser prendre des risques !!!!!!!!
ceci est le résumé de la vie.
Sagesses : les gens ne sont pas ce qu’ils disent mais ce qu’ils font…
*Attitudes importantes à adopter dans la vie*
*1.* Prenez des risques dans votre vie. Si vous gagnez, vous pouvez diriger. Si vous perdez, vous pouvez guider.
*2.* Les gens ne sont pas ce qu’ils disent mais ce qu’ils font. Alors ne les jugez pas par leurs paroles, mais par leurs actions.
*3.* Lorsque quelqu’un vous fait du mal, ne vous sentez pas mal parce que c’est une loi de la nature que l’arbre qui porte les fruits les plus sucrés reçoit le maximum de pierres.
*4.* Prenez tout ce que vous pouvez de votre vie, car lorsque la vie commence à prendre de vous, il va jusqu’à prendre votre dernier souffle.
*5.* Dans ce monde, les gens vont toujours jeter des pierres sur le chemin de votre réussite. Cela dépend de ce que vous faites d’eux : un mur ou un pont.
*6.* Les défis rendent la vie intéressante ; les surmonter rendent la vie utile.
*7.* Il n’y a pas de joie dans la victoire sans risque de défaite.
*8.* Un chemin sans obstacles ne mène nulle part.
*9.* Le passé est un endroit agréable à visiter mais certainement pas un bon endroit où séjourner.
*10.* Vous ne pouvez pas avoir de meilleur “demain” si vous pensez à “hier”.
*11.* Si ce que vous avez fait hier vous semble encore grand, alors vous n’avez pas beaucoup fait aujourd’hui.
*12.* Si vous ne construisez pas vos rêves, quelqu’un d’autre vous embauchera pour construire le sien.
*13.* Si vous ne montez pas sur la montagne, vous ne pouvez pas voir la plaine.
*14.* Ne le laissez pas au repos – Utilisez votre cerveau.
*15.* Vous n’êtes pas payé pour avoir un cerveau, vous êtes seulement récompensé pour l’utiliser de manière intelligente.
*16.* Ce n’est pas ce que vous n’avez pas qui vous limite ; c’est ce que vous avez, mais que vous ne savez pas comment utiliser.
*17.* Ce que vous ne parvenez pas à apprendre peut vous enseigner une leçon.
*18.* La différence entre une personne corrompue et une personne honnête est : que la personne corrompue a un prix alors que la personne honnête a une valeur.
*19.* Si vous réussissez à tromper quelqu’un, ne pensez pas que la personne est un imbécile… Réalisez que la personne vous a fait confiance beaucoup plus que vous ne l’aviez mérité.
*20.* L’honnêteté est un cadeau coûteux. Ne vous attendez pas à l’avoir des gens peu valeureux.
Prudence pendant les fêtes : une nouvelle méthode de vol de véhicules
*Je viens de recevoir cela d’un agent de police ami.
*Partages à d’autres personnes*
Ce message permet d’éveiller notre conscience de sécurité !!!.
Une nouvelle méthode de vol se déroule en ce moment, les voleurs armés arrachent des véhicules des gens sans méfiance nos jours.
Pendant une fête de mariage ou de rassemblement public, ils rencontreront le DJ pour faire une annonce qu’une voiture particulière avec le numéro d’enregistrement les bloque.
Alors que vous sortez pour déplacer votre voiture, certains gars vous attendent à l’extérieur avec des armes à feu. Ils savent que vous avez les clés de votre voiture.
Il vous est alors intimé l’ordre de monter dans votre voiture et de sortir de la concession avec eux.
S’il vous plaît, procédez comme suit lorsque votre numéro d’immatriculation du véhicule est appelé lors d’une fête:
1) Prenez votre temps avant de sortir.
2) Ne pas sortir seul, mais au moins en compagnie de deux personnes ou plus.
(3) Ne pas aller directement à l’endroit où la voiture est garée, au moins pour confirmer de loin que vous bloquez une autre voiture vraiment.
Et assurez-vous qu’il y a déjà un chauffeur dans la voiture bloquée avant de partir.
4) Surveillez attentivement votre environnement avant d’approcher le véhicule.
S’il vous plaît copiez et partagez même si vous ne possédez pas de voiture et sauvez beaucoup de gens.
OSENDE AFANA BRILLANT ÉCONOMISTE, MARTYR DU COMBAT POUR LA LIBÉRATION NATIONALE AU KAMERUN
Baptisé Castor OSENDE AFANA à sa naissance, l’homme a vu le jour dans la petite localité Nkogksaa, département de la Lékié en 1930. Très tôt, il rejoint la capitale Yaoundé. Très tôt ses idées apparaissent subversives et son regard sur le monde embarrassent. Dans un environnement portée à la préservation d’un monde immuable, le jeune homme, comme il est élève au Lycée Leclerc à Yaoundé au Kamerun est séduit par des idées progressistes et de résistance. Les prises de conscience du combattant en gestation le poussent à refuser désormais que l’on le nomme par le prénom Castor porteur pour lui d’une double négation et d’une infamie. Il veut être appelé par un patronyme qui le situe dans son africanité, dans sa camerounité, il ne veut pas d’un nom allogène d’autant plus infamant qu’il est un nom de rongeur !
Militant dans l’âme, en quête de meilleures conditions de vie, il est en 1952, l’un des meneurs de la grève des élèves noirs du lycée qui revendiquent une amélioration de leurs conditions de vie à l’internat. Déjà proche des idées de l’UPC -Union des Populations du Kamerun, principal parti revendiquant l’indépendance- il donnera sa véritable dimension et son leadership en France où il poursuit ses études à Toulouse, puis à Paris. Un
A Toulouse, il se retrouve dans le même comité de base de l’UPC que Paul Tessa, Augustin Frédérik Kodock, Jacques Roger Booh Booh etc. Il adhère à l’UNEK (Union Nationale des Etudiants Kamerunais) section de la FEANF (Fédération des Etudiants d’Afrique noire de France) ; dans cette structure, il fait la connaissance d’autres étudiants alors progressistes, notamment le guinéen Alpha Condé, le congolais Pascal Lissouba, l’ivoirien Henri Konan Bédié et bien d’autres.
Il anime le journal de la FEANF et fait partie du Comité d’accueil qui gère les publications de l’UPC en France, notamment « la voix du Kamerun », et surtout l’organisation des voyages de tous les cadres politiques du mouvement de l’UPC de passage en Europe en général.
C’est ainsi qu’il se fait remarquer par le président Félix Roland Moumié, qui en fait un de ses proches collaborateurs. Il sera très écouté du Président de l’UPC. A ce titre, il est régulièrement reçu par des chefs d’Etat progressistes africains.
Parallèlement à son action militante, il mène de brillantes études qui aboutissent à l’obtention d’un doctorat d’Etat en économie. Il est le premier docteur en économie d’Afrique noire.
Sa thèse de doctorat sera publiée aux Editions Maspero sous le tire ‘ l’Economie Ouest africaine, perspectives et développement « . Il y affirme qu’il n’y a pas de véritable indépendance sans indépendance monétaire. Il milite ainsi pour une monnaie africaine qu’il baptise Afrik. Son livre a été traduit en plusieurs langues et souvent cité en référence dans les hautes sphères de l’économie mondiale.
Très grand admirateur de Che Guevara, au cours d’une réunion à Paris, il déclare que la théorie ne vaut rien sans la pratique. C’est à cette occasion qu’il informe ses camarades qu’il est sur le point de rejoindre son pays le Kamerun, pour apporter sa contribution à la lutte de libération aux côté d’Ernest Ouandié alors Vice président de l’UPC.
Aux côtés d’Ernest Ouandie, il crée le Comité révolutionnaire, dont Ernest Ouandié est président ; comme autres membres quelques jeunes cadres nouvellement sortis d’universités occidentales, parmi lesquels Woungly Massaga –Docteur en mathématiques-, Docteur Ndongo Diyè –médecin-, Maître Michel Ndoh –avocat- Njawé Nicanor, Tchaptchet et le Vice président Abel Kingué ; il choisit la lutte armée dans le maquis camerounais où il était chargé du Deuxième front à l’est du pays, pendant que Woungly Massaga dirigeait le Premier front à Djoum au sud du Kamerun.
Le Congo est sa base arrière. Son maquis est repéré au mois de février 1966 ; le Président Ahmadou Ahidjo exige formellement qu’Ossendé Afana lui soit ramené à Yaoundé vivant ou mort, sachant que la seule indication précise sur sa description est qu’il porte des lunettes et qu’en grand admirateur de Um Nyobè, il mettait les mêmes patogas pour parcourir la forêt.
Les conditions de son assassinat le 15 mars 1966 à l’âge de 36 ans, pas loin de la frontière congolaise restent troubles, mais les témoignages s’accordent à reconnaître une impréparation possible du front et des trahisons certaines.
Le 15 Mars 1966, dans le maquis de la Boumba Ngoko au Sud Est du Cameroun, Osendé Afana, l`un des plus brillants intellectuels militants anti-colonialistes de l`Afrique du 20è siècle, à la tête d`un détachement de partisans, membres de l`Union des Populations du Kameruun (UPC)
engagés dans la lutte armée contre le néo-colonialisme, fut assassiné et décapité par les forces armées néocoloniales du Gouvernement kamerunais. Plus de quarante ans après, les autorités kamerunaises classent toujours comme » secret -défense ‘ les informations sur les circonstances de cet assassinat.
Cet homme est une figure méconnue des combats de l’Afrique en général et du Kamerun en particulier pour l’indépendance. Il mérite que l’on explore son histoire.
Sources
https://lvslcam.com/2018/03/18/osende-afana-brillant-economiste-martyr-du-combat-pour-la-liberation-nationale-au-kamerun/
Un ingénieur Bamiléké peine à trouver un emploi, alors il décide d’ouvrir une clinique dans sa chambre et met un écriteau à la porte:
SOIGNEZ VOUS ICI À 20000F – EN CAS D’ECHEC RECEVEZ 100000F
Un avocat Bassa’a passe par là et y voit une occasion de se faire cent mille francs njooh. Il entre donc…
?Avocat: Docteur, quand je mange je ne sens rien…?
??Docta: Infirmière apportez moi le flacon No 22 et mettez 3 gouttes dans la bouche du patient!⚗
?Avocat: Yiich c’est du pétrole!!
??Docta : Félicitations ! Votre goût est revenu. Mettez mes 20000 ici…?
L’avocat, énervé, décide de revenir quelques jours plus tard pour récupérer son argent…
?Avocat: J’ai perdu la mémoire Docta je n’arrive pas à me souvenir de quoi que ce soit ??
??Docta: Infirmière apportez moi le flacon No 22 et mettez 3 gouttes dans la bouche du patient!⚗
?Avocat (énervé): Tu me prends pour qui? Ce n’est pas le pétrole que tu m’as donné l’autre jour???
??Docta: Félicitations! Vous avez retrouvé la mémoire. N’oubliez pas de déposer mes 20000f ici.?
L’avocat Bassa’a dépose l’argent, rouge de colère, en promettant de l’avoir un jour. Il revient une semaine plus tard, plus déterminé que jamais à avoir ses 100000f:
?Avocat: Mince, c’est comme si j’ai perdu la vue…
??Docta: Malheureusement je n’ai aucune solution pour ça… Tenez, voici 100000f.?
?Avocat (regardant l’argent): Voleur! Tu veux me tromper? Il n’y a que 30000 ici! ?
??Docta: Félicitations! Vous avez recouvré la vue. N’oubliez pas de déposer mes 20000 en sortant…?
Trop fort les bamilékés! ???
Envoies xa a tt tes amis. Ils vont rigoler
Arnaud OUEDRAOGO : Quand le Cameroun s’éveillera, le monde tremblera
Le Cameroun vu par un avocat burkinabé
Chers frères et soeurs du Cameroun, j’ai toujours dit que le peuple camerounais est en apnée. Le jour où vous respirerez le même air que les autres, c’est le monde entier qui se mettra en ordre de marche. S’il y a un pays en Afrique noire que je considère comme le plus puissant par ses hommes, c’est bien le Cameroun. Le moteur de votre puissance mentale peut alimenter toute l’Afrique. Gardez la foi, continuez votre noble combat d’éveil des consciences, et bientôt vous verrez combien l’Esprit est plus grand que les petits égoïsmes.
Et ne pensez pas que parler soit peu de chose ou dérisoire, car « au commencement était la Parole », et c’est la Parole qui meut l’Esprit. Vous avez certes attendu longtemps mais les choses se feront. Continuez à occuper le champ de l’Esprit, à investir le terrain mental et intellectuel, en n’oubliant pas de vous dresser contre le démon de la division qui vous guète. La bonne nouvelle, c’est que cette conquête sera sans armes, car nous ne voulons pas d’armes au Cameroun mais de paroles puissantes qui fassent rouler les pierres.
Quant à moi, je n’ai jamais vu le Cameroun s’écrouler. J’ai toujours vu le Cameroun se redresser fièrement et reprendre confiance en lui-même. L’Afrique vous attend parce que vous êtes le peuple qui a la plus haute conscience panafricaine. Mais surprenez l’ennemi extérieur, car il sait comme je le sais que, s’il y a un peuple qu’il faut fréner si l’on veut régner longtemps sur l’Afrique, c’est bien le Cameroun.
Vous êtes un grand peuple.
C’est mon grand amour pour le Cameroun qui vous parle.
Maître Arnaud OUEDRAOGO
Brice Nitcheu : opinion – le tribalisme des Bamiléké, parlons-en !
Comme c’est le cas depuis les 30 dernières années, c’est à l’approche des élections présidentielles que les clivages tribaux sont les plus marquants au Cameroun, et les intellectuels organiques et autres chantres du tribalisme sortent leurs cartes. L’année 2018 ne fait pas exception. Nous observons la réapparition orchestrée de discours anti-Bamiléké violents sur les plateaux de télévision, relayés avec un cynisme criminel sur les réseaux sociaux par des crapules facilement identifiables, dont la filiation avec le pouvoir en place est indiscutable. Cette dialectique anti-Bamiléké a atteint son paroxysme avec l’arrivée inattendue de Maurice Kamto sur la scène politique. La popularité grandissante de son parti le MRC au plan national et l’espoir que sa candidature suscite chez certains Camerounais sont les deux facteurs d’une dynamique redoutable qui rend hystériques certains compatriotes complètement allergiques à toute idée de voir un Bamiléké prendre le pouvoir au Cameroun.
Du coup, une rengaine bien connue, inaugurée par Lamberton, reprise et instrumentalisée depuis les années d’indépendance par une petite meute villageoise paresseuse qui se renouvelle à chaque occasion et qui a fait du pouvoir politique une exclusivité familiale, refait surface : Ainsi, on peut les entendre dire ici et là : « Les Bamiléké sont des tribalistes qui veulent prendre le pouvoir pour dominer les autres tribus » ; « Les Bamiléké sont des assoiffés de pouvoir qui ne rêvent qu’à s’en accaparer pour parfaire leur projet de domination » « Les Bamiléké sont des cochons qui salissent nos villes et doivent rentrer vivre dans leurs montagnes » « Les Bamiléké ne recrutent que leurs frères dans leurs sociétés » « Les Bamiléké ne vont jamais prendre le pouvoir au Cameroun » etc.
Et pourtant, comme nous allons le démontrer, les Bamiléké ont prouvé, à travers l’histoire lointaine, récente, et souvent sanglante du Cameroun, qu’il est un peuple de patriotes qui a toujours rejeté les appels au repli identitaire, et ceci commence avec l’histoire de l’UPC et du Patriarche Bamiléké Djoumessi Mathias.
Les Bamiléké n’ont jamais cédé aux appels au repli identitaire, voici pourquoi !
Mathias Djoumessi est, beaucoup de Camerounais l’ignorent, le premier Président de l’UPC, élu à ce poste au Congrès du parti historique en 1950 à Dschang. A la suite de son élection, il est excommunié avec fracas par l’église Catholique qui déteste l’UPC et est pressé par la France de renoncer. Il passera donc un séjour éphémère de 6 mois à la tête de l’UPC avant de démissionner au début de l’année 1951. Il crée par la suite, avec l’aide logistique de la France qui veut anéantir l’UPC en pays Bamiléké, un parti politique qu’il va présenter comme le « Parti des Bamiléké », et lui donne le nom de Kumze. Il réussira à obtenir l’adhésion à ce parti d’un grand nombre de Rois Bamiléké, avec l’espoir que les Bamiléké vont suivre l’exemple de leurs Rois. Il va aller plus loin ; Il va créer la première coopérative autonome du Cameroun, la COPPLAC, qui a pour ambition d’aider les Bamiléké dans la culture et la vente libre du café. Ensuite, Mathias Djoumessi va sillonner le pays Bamiléké de fond en comble, pour rallier ces derniers au programme de son parti, essentiellement axé sur la protection de leurs intérêts. Entre temps, il est porté à la tête d’un autre Mouvement Politique, « Les Paysans Indépendants », qui regroupe les 9 députés Bamiléké présents à l’assemblée. Mais Mathias Djoumessi va se rendre compte par la suite, à ses dépends, à quel point il s’était trompé sur un peuple qu’il croyait connaitre.
Le peuple Bamiléké, rejetant tous les appels de leur frère Mathias Djoumessi, rejetant ses promesses de protéger leurs intérêts, refusant tous les avantages que son adhésion au Kumze lui aurait logiquement procuré, opte pour un choix dangereux et risquant, celui de suivre le discours indépendantiste de Ruben Um Nyobe, un jeune nationalise inconnu originaire du pays Bassa, mais dont le discours de libération sonnait jusque dans les tréfonds des campagnes Bamiléké.
C’est donc en masse et de manière systématique que les Bamiléké adhèrent à l’UPC au détriment de Kumze, et font de la région Bamiléké le premier bastion de ce parti. Lorsque l’UPC est interdite, les Bamiléké, suivant l’appel d’Um Nyobe, un Bassa inconnus dans les camapgnes, entrent en résistance. La France va leur faire payer un prix lourd pour leur audace, et le dernier nationaliste Upeciste assassiné par l’armée s’appelle Ernest Ouandie, un Bamiléké fusillé sur la place publique à Bafoussam le 15 janvier 1970.
Les Bamiléké et le SDF
Au début des années 90, sous la contrainte de la rue, Paul Biya essaye timidement d’assouplir le jeu politique et accède à la demande du multipartisme. Tout s’est en réalité joué à Bamenda, le 26 mai 1990. Un libraire charismatique, défie la machine militaire déployée ce jour-là par le parti unique et lance un parti politique, le SDF. Ce libraire s’appelle Ni John Fru Ndi. Il a repris, presque mot pour mot, le discours de libération d’Um Nyobe. Il parle de « Power to the People » et fait preuve d’un courage et d’une audace suicidaires dans lesquels les Bamiléké vont se reconnaitre très vite.
Malgré la répression et les hésitations, Paul Biya est obligé d’annoncer l’avènement du multipartisme. Puis, une multitude de partis politiques voient le jour. Parmi les partis politiques créés par les Bamiléké, l’UFDC émerge rapidement. Son fondateur est un Bamiléké du Haut Nkam, spécialiste des questions de la sécurité militaire. Il s’appelle Hameni Mbieleu et vit à Yaoundé. Le discours du Président Hameni est vite éteint par le slogan du SDF, « Power to the People », qui résonne, tout comme le discours de libération de Ruben Um Nyobe 40 ans plus tôt, dans les campagnes Bamiléké.
Malgré la répression barbares qui va sévir sur le SDF, malgré les menaces et les risques qui pèsent sur eux et qui sont mis en relief par l’apparition de nouveaux lexiques génocidaires dans le champ politique, les Bamiléké vont, comme ils l’ont fait pour l’UPC au tournant des années d’indépendance, faire un choix patriotique risqué, par une adhésion massivement au SDF, au détriment du parti de leur propre frère Hameni Mbieleu, qui va d’ailleurs s’allier au SDF lors des élections présidentielles de 1992, gagnées comme nous le savons tous, par John Fru Ndi.
Personne ne peut prétendre que les Bamiléké ont adhéré au SDF par calculs politiciens, ou par intérêts claniques, d’autant plus que dans l’appareil dirigeant de ce parti, aucun Bamiléké n’a jamais tenu une position de pouvoir, et ceci est d’ailleurs encore valable aujourd’hui. Bien entendu, comme ce fut le cas pour l’UPC, leur adhésion au SDF leur a couté très chère. Après les élections de 1992, une chasse aux sorcières a eu lieu dans les régions du Sud du pays ou des maisons, boutiques et autres biens appartenant aux Bamiléké ont été brulés, et dans certains cas, avec leurs occupants.
La candidature du Patriarche Albert Dzongang.
L’Honorable Albert Dzongang est un ancien Député Bamiléké de la ville de Douala, et un transfuge du RDPC, un parti qu’il a servi avec abnégation avant de démissionner avec fracas. Il crée ensuite son parti politique, la Dynamique, et en 1997 il décide, indigné par toutes les frustrations accumulées par les Bamiléké, de se présenter aux élections présidentielles, comme « Le Candidat de Bamiléké », qui va rétablir leur dignité bafouée et défendre leurs intérêts menacés. Sa campagne, qui sera concentrée à l’Ouest et sur les associations et autres milieux Bamiléké ne fait aucun doute, ni aucune équivoque sur son programme et ses intentions. Il rassemble à son domicile de Bassa des intellectuels, entrepreneurs et leaders d’associations Bamiléké pour les convaincre de le suivre. Mais, comme Mathias Djoumessi avant lui, l’Honorable Albert Dzongang s’est rendu compte à quel point il s’était trompé. Les Bamiléké ne l’ont pas suivi.
Ces trois exemples indiscutables font des Bamiléké le seul peuple au Cameroun, et peut-être même en Afrique, dont les choix politiques n’ont jamais été motivés par des intérêts claniques. Et chaque fois qu’ils ont fait un tel choix, ils ont accepté dignement d’en payer le prix et les tourments qui vont avec, y compris un génocide perpétré par la France entre 1962 et 1964, qui reste la seule période sur laquelle ce pays refuse d’ouvrir ses archives, en raison sans doute de la gravité des crimes commis qui pourrait compromettre dangereusement sa posture internationale.
Quel autre peuple au Cameroun a adhéré aussi massivement à un parti dont le leader n’était pas de la même famille ethnique et a payé un prix aussi lourd pour son choix ? Les Nordistes étaient massivement derrière Ahidjo, puis Bello Bouba Maigari. Les Bassa étaient massivement derrière Um Nyobe. Les Béti et les Bulu sont massivement derrière Paul Biya. Les Bamouns sont massivement derrière Adamou Ndam Njoya. Les Anglophones ont été massivement derrière John Fru Ndi. Les Douala sont massivement derrière Jean-Jacques Ekindi. Et ce sont certains de ces compatriotes animés par une haine gratuite et qui n’ont jamais adhéré à un autre parti que celui de leurs propres frères qui écument les plateaux de télévision pour attaquer les Bamiléké et les accuser d’avoir des ambitions hégémoniques.
Les Bamiléké ont le droit légitime à aspirer au pouvoir
Nous le disons et prenez comme vous voulez ! Les Bamiléké, tout comme tous les autres peuples du Cameroun, ont une aspiration légitime à accéder au pouvoir, qui n’est pas réservé à une catégorie exclusive de la communauté nationale qui prétendrait en détenir la paternité. Cela n’est plus possible ! Sur l’échelle des valeurs, du courage et du mérite pour services rendus à cette nation toujours ingrate à leur égard, les Bamiléké arriveraient en tête des peuples qui aspirent à diriger le Cameroun, même si, en raison des réserves qui les caractérisent, ils n’en n’ont jamais fait une exigence particulière. Mais il faut bien se rendre à l’évidence et abandonner tout projet qui consisterait à empêcher un Bamiléké de prendre pacifiquement et démocratiquement le pouvoir au Cameroun sous prétexte qu’un Bamiléké serait disqualifié pour diriger notre pays. C’est fini !
Les Bamiléké sont libres, comme toutes les autres communautés nationales, de faire le choix politique qui leur semble approprié et juste, et personne ne pourra s’y opposer, ni les convaincre de faire autrement, ni les corrompre. Nous venons de prouver par l’histoire que ceux qui ont essayé ont échoué, y compris leurs propres frères. Et si les Bamiléké décident que Maurice Kamto est celui qui est mesure de sortir le Cameroun de l’abime actuel, personne ne s’y opposera non plus. Que ceux qui en doutent se réveillent maintenant !
Brice Nitcheu
Londres, le 11/06/18